Je suis retombé sur cette phrase en relisant mes notes de lectures et j’avoue que cela m’arrive aussi (d’ailleurs pas plus tard qu’hier soir sur “La fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette” de S.Larsson :
Je ne crois pas me rappeler joie plus grande, plus complète, que celle d’arriver aux quelques dernières pages et de poser le livre, afin que la fin ne se produise pas avant le lendemain, et de me renfoncer sur l’oreiller avec le sentiment d’avoir bel et bien arrêté le temps.
A.Manguel “Le livre de la lecture”’
Je conseille ce livre à tous les fous de lecture : Il s’agit d’un essai un peu ardu mais passionnant.